Dans les pays européens comme en Asie, l'électrification de la mobilité commence par les bus, les voitures individuelles et les vélos. En Afrique, ce sont les moto-taxis qui sont à l'avant-garde de ce changement de vecteur énergétique. Toutefois, le mode de transport motorisé qui permet le plus aux habitants des zones urbaines de ce déplacer quotidiennement, c'est le minibus.
Comment peut-on envisager l'électrification à moyen-terme de ces véhicules qui sont actuellement largement exploités par des opérateurs artisanaux? C'est la question à laquelle des dizaines de décideurs africains ont été invité à répondre dans le cadre d'un atelier de trois jours organisés par la GIZ en partenariat avec VREF et MobiliseYourCity.
Fort de son expérience sur les modèles d'exploitation du transport artisanal, Transitec a été invité à animer les échanges entre les représentants d'une dizaine d'une dizaine de pays africains afin de contribuer à la définition de scénarios pour les pays d'Afrique de l'Est.